Par @manonlit_et_vadrouilleaussi
Vous souvenez-vous avoir vu passer en Décembre 2019, la BD le “ Château de mon Père ” ? Un ouvrage en partenariat avec le Château de Versailles retraçant la renaissance du dit château grâce à un homme, Pierre de Nolhac. Je me souviens très bien des avis positifs sur les réseaux, épinglant le titre d’ailleurs, mais je n’avais alors jamais entendu parler de la maison d’édition. C’est pourquoi quand un live a été organisé, j’ai été curieuse de découvrir qui se cachait derrière ce nom de « La Boîte à Bulles ».
HISTORIQUE
En 2003, alors qu’il est journaliste BD, Vincent Henry propose à deux auteurs auto-édités d’être leur éditeur. Bien que n’ayant aucune expérience dans le domaine de l’édition, les auteurs acceptent sa proposition. La création de la maison est alors lancée. Un pari gagnant puisque la première parution « L’immeuble d’en face » de Vanyda devient rapidement un succès. Composée initialement d’un groupe d’amis, la maison se professionnalise petit à petit et devient en 2017, un label du groupe les « Humanoïdes associés ».
LA MAISON
Au départ, Vincent Henry envisageait la publication couplée de BD sur Internet et en livre. Bien que le projet fût abandonné, le nom lui est resté faisant ainsi référence aux “ Boîtes à Images”. Avec une vingtaine de titres par an, portés sous différentes collections (contre-cœur, contre-jour, contre-pied, hors-champ…), le catalogue se compose d’ouvrages racontant l’intime, le témoignage, le voyage, la biographie et l’autobiographie.
COUPS DE CŒUR DE L’ÉQUIPE « La Boite à Bulles »
– Concerto pour main gauche de Yann Damezin,
– Capitaine Tikhomiroff de Gaétan Nocq
– La plus belle femme du monde de William Roy et Sylvain Dorange
– Psychotique de Sylvain Dorange
– Deux hivers, un été de Valérie Villieu
Je vous invite également à jeter un œil sur leur site internet.
A VOIR : le replay de la rencontre sur la chaîne YouTube VLEEL.
A LIRE : deux chroniques, ici et ici.
Vincent Henry